Herman,
prof parisien, décide de rester un peu plus longtemps en vacances, avec
sa femme et son fils, et de ne
rentrer que le 1 septembre plutôt que le 31 août comme
habituellement. Mais dans le village de campagne où ils restent l'été,
passer du mois d'aôut au mois de septembre, c'est passer du climat de
l'Espagne à celui de l'Ecosse, en une simple journée... Ce
changement de climat, aussi inquiétant que soudain, s'accompagne pour
Herman de la disparition tout aussi impromptue de sa femme et de
son fils, partis chercher des oeufs à la ferme voisine. Il va devoir
rester au village, et s'adapter au mode de vie des villageois pour
pouvoir espérer retrouver sa famille, et surtout comprendre
ce qu'il s'est passé...
Ce roman, dont le sujet me semblait au départ intéressant, ne m'a pas plu plus que ça. Je n'ai jamais vu où Marie NDiaye voulait en venir, et la fin du récit m'a laissé encore plus de marbre que le reste. J'ai tout de même apprécié l'écriture, fluide, élégante et recherchée : grâce à cette écriture, le roman se lit facilement, et je dois dire que c'est ce qui m'a permis de le finir. Je reste cependant extrêmement hermétique à l'histoire, qui reste pour moi trop dénuée de sens. Après, peut-être est-ce le but de roman, de ne laisser que des questions en suspens et ne jamais donner de réponse ou de sens à ce qui est présenté (ce qui ne me gêne pas outre mesure d'habitude), mais là, je suis restée sur ma faim : une grosse frustration comme je n'en avais pas connue depuis longtemps... Comme si ne pas avoir de sens ne prenait pas assez de sens ici...
Je crois donc que je vais laisser de côté cette auteure, qui a pourtant de grandes qualités : j'avais déjà lu Rosie Carpe il y a quelques années, et vraiment, je reste hermétique à ce qu'elle écrit... mais en même temps, j'aime beaucoup sa plume. Paradoxe, quand tu nous tiens...
Ce roman, dont le sujet me semblait au départ intéressant, ne m'a pas plu plus que ça. Je n'ai jamais vu où Marie NDiaye voulait en venir, et la fin du récit m'a laissé encore plus de marbre que le reste. J'ai tout de même apprécié l'écriture, fluide, élégante et recherchée : grâce à cette écriture, le roman se lit facilement, et je dois dire que c'est ce qui m'a permis de le finir. Je reste cependant extrêmement hermétique à l'histoire, qui reste pour moi trop dénuée de sens. Après, peut-être est-ce le but de roman, de ne laisser que des questions en suspens et ne jamais donner de réponse ou de sens à ce qui est présenté (ce qui ne me gêne pas outre mesure d'habitude), mais là, je suis restée sur ma faim : une grosse frustration comme je n'en avais pas connue depuis longtemps... Comme si ne pas avoir de sens ne prenait pas assez de sens ici...
Je crois donc que je vais laisser de côté cette auteure, qui a pourtant de grandes qualités : j'avais déjà lu Rosie Carpe il y a quelques années, et vraiment, je reste hermétique à ce qu'elle écrit... mais en même temps, j'aime beaucoup sa plume. Paradoxe, quand tu nous tiens...
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