Le douzième Evangile (Jacques Guyonnet)

12eme
 
Extrait du quatrième de couverture : 
" Mélissa, obsédée sexuelle notoire et reporter vedette du plus grand Zine des États-Unis d’Europe se voit confier par sa rédactrice en chef une mission super-dangereuse : remonter le temps avant Evène (Avant les Événements) et découvrir "Ce que les femmes préfèrent" . Elle y parviendra avec l’aide de Dieu (que la traque théologique des Américains a fait chuter dans le contingent) qu’elle tentera de séduire et de Des Ombres, un compositeur aussi énigmatique que romantique qui, sans le savoir, est à l’origine de l’Univers. Le joueur masqué (Dieu ou l’auteur) joue avec Mélissa comme avec une balle de flipper. Elle est envoyée dans le New York des années 60 et déjoue les avances d’un certain Salman Rushdie, participe à la plus grande rave lesbienne de Californie où elle baise un requin, se trouve à Wall Street chez l’infâme Fuld aux débuts de la crise, est enlevée par la terrible nazie Hannelore et sera torturée dans une île grecque par les Bitenberg, maîtres du monde. Elle passe également en Allemagne, à Stuttgart, là où un apprenti sorcier joue avec les pouvoirs de la musique. Au final, on descendra le Ruban O’ (le Temps) de quelque quinze milliards d’années pour assister à la formation de la soupe primitive et des lois qui vont la régir pour nous donner naissance. Une occasion unique pour Mélissa de modifier le futur… et de revenir régler ses comptes"...
 
La lecture de ce quatrième de couverture m'avait donné envie de lire ce roman qui me semblait particulièrement fou, et donc plutôt rafraîchissant. Un premier essai de lecture m'a rendu sceptique : le livre m'est tombé des mains assez rapidement. Je n'ai à aucun moment réussi à m'intéresser à l'histoire, et j'ai très vite été submergée par toutes ces inventions de mots qui alourdissent le récit, le rendent fouillis, au point de le noyer sous des notes de bas de page que l'on finit par ne plus lire (ce qui fait perdre à ces inventions tout son intérêt, car l'idée restait ma foi très intéressante...). Qu'importe, peut-être que ce jour-là n'était pas un bon jour pour commencer la lecture, j'ai donc remis cela à plus tard...
 
Deuxième essai de lecture : rien à faire, la mayonnaise ne prend pas, toujours les mêmes impressions et la simple envie de refermer très rapidement le livre au bout des cent premières pages... Je n'ai donc pas  du tout apprécié cette lecture, au point de ne pas finir le livre, ce qui ne m'arrive que très rarement.C'est bien dommage, car l'ensemble, présenté sur le quatrième de couverture, semblait assez prometteur !
 
Merci à Blog-O-Book et aux éditions La Margelle pour ce partenariat !

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