Quatrième de couverture :
"
Dans le golfe du Mexique, pendant trois jours, un vieil homme lutte,
seul sur sa barque, pour capturer un
espadon. Lorsqu'il le tient enfin, au prix d'un combat acharné, les
requins se précipitent, ne laissant de sa prise que la tête et
l'arête... Hemingway voulait que cette histoire soit la plus
réaliste possible afin qu'elle dise plus que la réalité... Brillante
métaphore de la condition humaine, de sa vanité, de son désespoir, ce
livre lui valut le prix Nobel de littérature en
1954."
Cela fait un moment que ce classique traîne dans ma PAL : j'ai donc profité du challenge 50 états 50 billets
pour enfin l'en sortir. A l'heure actuelle, je me demande si j'ai bien fait en fin de compte.
Les premières pages me semblaient pourtant prometteuses, décrivant de manière simple mais efficace les journées
passées entre un pêcheur, Santiago, et son jeune ami qui l'accompagne parfois à la pêche.
C'est
alors que Santiago part seul en mer, qu'il rencontre un espadon qu'il
va pêcher et tenter de ramener sur
le rivage tant bien que mal; c'est alors que j'ai décroché : cette
scène de pêche s'étale sur quasiment tout le roman, avec ce vieil homme
qui se bat contre le poisson, contre la mer, également
contre lui-même. Qu'est-ce que j'ai alors trouvé le temps long ! A
cause de cela, je suis restée plutôt hermétique à toute la symbolique
que pouvait engendrer cette rencontre en pleine mer, et à
l'histoire elle-même, tout simplement...
Le vieil homme et la mer
est donc un de ces incontournables qui ne m'aura fait ni chaud ni
froid. Je ne
pense pas en garder un grand souvenir, mais le principal reste que
je l'ai lu pour me faire enfin mon point de vue, même s'il est loin
d'être positif...
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