Quatrième de couverture :
"Les nombres premiers ne sont divisibles que par 1 et par
eux-mêmes ; soupçonneux et solitaires, certains possèdent cependant
un jumeau dont ils ne sont séparés que par un nombre pair. Mattia, jeune
surdoué, passionné de mathématiques, en est persuadé :
il compte parmi ces nombres, et Alice, dont il fait la connaissance
au lycée, ne peut être que sa jumelle. Même passé douloureux, même
solitude à la fois voulue et subie, même difficulté à
réduire la distance qui les isole des autres. De l’adolescence à
l’âge adulte, leurs existences ne cesseront de se croiser, de
s’effleurer et de s’éloigner dans l’effort d’effacer les obstacles
qui les séparent."
Cela m'arrive rarement, mais je n'ai vraiment
pas grand chose à dire sur cette lecture : La solitude des nombres premiers
se lit plutôt facilement, grâce à un style très fluide, mais je suis
restée totalement hermétique à l'histoire
et à la façon dont les sentiments des deux personnages principaux
sont décrits. Je n'ai à aucun moment été émue par leurs vies, alors
que, pourtant, leurs aspects tragiques y prêtent
volontiers.
Sentiment assez neutre face à ce roman donc : sympathique à lire, et c'est tout... Je pense que je l'oublierai
rapidement !
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