Extrait du quatrième de couverture :
"
Mélissa, obsédée sexuelle notoire et reporter vedette du plus grand
Zine des États-Unis d’Europe se voit
confier par sa rédactrice en chef une mission super-dangereuse :
remonter le temps avant Evène (Avant les Événements) et découvrir "Ce
que les femmes préfèrent" . Elle y parviendra avec l’aide de
Dieu (que la traque théologique des Américains a fait chuter dans le
contingent) qu’elle tentera de séduire et de Des Ombres, un compositeur
aussi énigmatique que romantique qui, sans le savoir,
est à l’origine de l’Univers. Le joueur masqué (Dieu ou l’auteur)
joue avec Mélissa comme avec une balle de flipper. Elle est envoyée dans
le New York des années 60 et déjoue les avances d’un
certain Salman Rushdie, participe à la plus grande rave lesbienne de
Californie où elle baise un requin, se trouve à Wall Street chez
l’infâme Fuld aux débuts de la crise, est enlevée par la
terrible nazie Hannelore et sera torturée dans une île grecque par
les Bitenberg, maîtres du monde. Elle passe également en Allemagne, à
Stuttgart, là où un apprenti sorcier joue avec les
pouvoirs de la musique. Au final, on descendra le Ruban O’ (le
Temps) de quelque quinze milliards d’années pour assister à la formation
de la soupe primitive et des lois qui vont la régir pour
nous donner naissance. Une occasion unique pour Mélissa de modifier
le futur… et de revenir régler ses comptes"...
La
lecture de ce quatrième de couverture m'avait donné envie de lire ce
roman qui me semblait particulièrement
fou, et donc plutôt rafraîchissant. Un premier essai de lecture m'a
rendu sceptique : le livre m'est tombé des mains assez rapidement. Je
n'ai à aucun moment réussi à m'intéresser à l'histoire,
et j'ai très vite été submergée par toutes ces inventions de mots
qui alourdissent le récit, le rendent fouillis, au point de le noyer
sous des notes de bas de page que l'on finit par ne plus
lire (ce qui fait perdre à ces inventions tout son intérêt, car
l'idée restait ma foi très intéressante...). Qu'importe, peut-être que
ce jour-là n'était pas un bon jour pour commencer la
lecture, j'ai donc remis cela à plus tard...
Deuxième
essai de lecture : rien à faire, la mayonnaise ne prend pas, toujours
les mêmes impressions et la
simple envie de refermer très rapidement le livre au bout des cent
premières pages... Je n'ai donc pas du tout apprécié cette lecture, au
point de ne pas finir le livre, ce qui ne m'arrive
que très rarement.C'est bien dommage, car l'ensemble, présenté sur
le quatrième de couverture, semblait assez prometteur !
Merci à Blog-O-Book et aux éditions La Margelle pour ce partenariat !
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